Les Ours :
Pour vous; nous avons réuni l’ensemble des pratiques utilisés pour dompter les ours dans les cirques. Le but de ces méthodes étant bien entendu de leurs faire faire des tours « contre nature ». Le pari de faire monter un ours sur un tabouret sans avoir recours à la contrainte et la violence semble un peu risqué pour un dompteur.
C’est pourquoi frappés de plusieurs coups de manche de fouet sur le museau. Ces brutalités forcent l’animal, recroquevillé sous la douleur, à l’obéissance instantanée.
Et ça ne s’arrête pas la :
- Afin de s’assurer que l’ours ne prendra pas la fuite, les dompteurs lui percent la cloison nasale ( sans aucune anesthésie ) et introduisent un anneau métallique relié à une chaîne; la douleur que provoque toute traction un peu violente garantit donc la sagesse de l’animal.
- Enfermer le mammifère dans une cage dont le plancher est constitué d’une tôle. Un feu est donc allumer sous la dit-tôle et les dresseurs attendent patiemment que l’animal lève alternativement les pattes pour tenter de soulager les brûlures. En accompagnement de cette « joyeuseté », les dompteurs optent pour quelques morceaux de flûtes, tambourin ou autres.
Cette pratique est renouvelé plusieurs fois voir de très nombreuses fois. Et on y joue également la même symphonie, cette accompagnement musical pour que cela soit vrai. Le résultat est garantit : en attendant la musique, l’animal se met à danser comme par « habitude ».
Pour conserver cette « bonne » pratique, les dompteurs n’hésitent pas à replacer le mammifère sur sa tôle pour réitérer le même manège horrible.
Qui va se soucier des pieds de l’animal, dont les brûlures ne guérissent jamais complètement faute de soins ?
Ceux qui manifestent quelques distractions ou velléités de résistance sont ramenés à la dure réalité. Ainsi, tel ours qui n’obtempérait pas immédiatement aux ordres fut-il frappés violemment de plusieurs coups de manche de fouet sur le museau. Ces brutalités forcèrent l’animal, recroquevillé sous la douleur à l’obéissance instantanée.
Les félins :
Leur dressage s’effectue avec des gourdins, des fouets et fourches. Le dompteur n’agit pas seul.
De nombreux dresseurs aident ce dernier avec des tiges de fer, des seaux d’eaux, revolvers etc .. ils peuvent également tenir l’animal avec un lasso passé autour du cou. À chaque tentative de révolte, le lasso tiré fortement depuis l’extérieur de la cage étrangle à moitié l’animal. Par la suite, de sévère corrections lui sont administrées afin qu’il sache qu’il est le plus faible.
Lors des séances de dressage, il peut arriver qu’on leur lance des tabourets, qu’on leur brise des gourdins sur la tête; on les terrorise avec des coups de fourche.
Le « petit bout de viande » est utilisé pour faire comprendre à l’animal qu’il a satisfait, qu’il a bien répondu à l’ordre reçu. Le domptage dure des mois, voire des années. Les animaux, réduits à l’état de robots exécutent mécaniquement ce qu’ils ont appris.
Lors de représentations, le claquement du fouet, la vue du gourdin ou de la fourche leurs rappellent les coups reçus sur la tête, les narines, les reins, les pattes et les rendent craintifs et obéissants.